Petite biographie imaginaire d’une conteuse… fantasmée?
On dirait que…
le conte, un don, un trésor, un fétiche, lui serait apparu au détour d’un sentier;
les voyages, l’étrange et l’étranger la fascineraient;
les chemins de traverse l’attireraient;
au cœur de sa vie, les mots et le langage se seraient taillés une grande place;
l’écriture et la littérature, depuis toujours, lui traceraient une voie pour découvrir le monde;
elle adorerait conjuguer liberté et imaginer;
spontanée, exubérante, déroutante, sensible la qualifieraient;
l’imaginaire, le réel, l’absurde et la dérision se côtoieraient dans un cocktail de saveurs;
habiter le corps d’une conteuse signifierait une manière d’être au monde, une façon d’aller à la rencontre de soi et des autres;
conter s’incarnerait en une présence entière et multiple par les aspérités de laquelle se faufileraient les contes se déployant dans un espace de partage, de paroles et de silences.
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